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        1.
        2017.06 KCI 등재 서비스 종료(열람 제한)
        The point of this Supreme Court Cases are (1) Does the accused’s act putting up maximal collateral constitute a charge of embezzlement? (2) Should the act of disposal after the embezzlement be punished as an independent crime? In my relationship with breach crime of trust, the embezzlement has a character as the special law. Therefore, where the embezzlement is concerned, it needs to be strictly interpreted. If the accused’s act has not reached the level to trespass on some one’s proprietary rights, the establishment of embezzlement should be denied and the breach crime of trust should be reviewed. On the one hand, the term “Unpunishable Act After Crime” means that the act after crime (the post act) is unpunishable whenever the punishable crime (the previous act) is committed and it contains a whole illegality of the post act. In this case, nevertheless if the post act is punished as an independent crime, it occurs the problem of the double risk necessarily. On the other hand, the illegality of the post act exceeds the previous one, it is no more unpunishable. In the several criminal cases, the “Unpunishable Act After Crime” is mentioned in the property crimes like embezzlement, fraud, malpractice, and theft. In the criminal investigation and the trial, the “Unpunishable Act After Crime” could influence a judgment of the court, an arraignment of the prosecutor, a statute of limitations, an appeal, and so on. Eventually, the concept of the “Unpunishable Act After Crime” prevents a suspect from the double punishment or double risk. But it may cause harm to substantial criminal justice because unpunishable act after crime shall be exempted from legal sanctions even though it should be a punishable crime in a different circumstances. So it is important that establish a elaborate standard to define if a certain act is an unpunishable act after crime or not.
        2.
        2015.06 KCI 등재 서비스 종료(열람 제한)
        En général, le détournement de fonds est l'appropriation frauduleuse de biens par quelqu'un pour son propre intérêt à qui l'on avait fait confiance pour gérer l'argent et les fonds détenus par un autre individu ou par une organisation tiers. Les fonds peuvent être des fonds sociaux ou des fonds publics. Les qualifications pénales d'abus de biens sociaux et d'abus de confiance sont voisines. L'abus de confiance couvre tous les agissements de détournement de fonds ou d'objet qui ont été confiés à une personne de confiance. Il s'agit ici moins de protéger la propriété d’autrui que de protéger les droits des créanciers. En cela l’infraction se distingue de l'abus de confiance qui, quant à elle protège non pas le créancier, mais le propriétaire ou le possesseur d'un bien. Si un débiteur, propriétaire de la chose remise en gage, détourne le bien gagé, il se rend coupable, non pas d’abus de confiance, mais de détournement d’objet constitué en gage. Ici, le cas, en l'espece, est du détournement d’objet constitué en gage: Il s'agit du fait, par un preteur du nom pour fiducie par l'organisme de propriété de famille de détourner l'objet constitué en gage. En général, l’incrimination s'applique à tout gage, qu'il s'agisse d'un gage avec dépossession ou sans dépossession, d’un gage civil ou commercial, d'un gage conventionnel ou d'un gage légal. L'arrêt de la cour suprême coréenne, jugé l'accord de puissance de corps, du 21 fev. 2013 a décidé que "le détournement est l'acte par lequel un individu dépossède une personne d'un bien qu'elle lui a confié. Il constitue l'élément matériel des délits de la nature de l'abus de confiance" et que "l'article 355 du Code pénal coréen est applicable au cas où le détournement d'objet constitué en gage est intervenue après la vente tardif pour le tiers." En effet, cet arrêt de la cour suprême coréene a changé son opinion postérieure, malheureusement, sans l'explication concrète. A mon avis, cet arrêt de la cour suprême coréene a refusé de bien respecter "le principe de non-punissabilité de l'acte postérieure en cas de l'abus de confiance". De ce point de vue, il est très naturel de critiquer la constatation de cet arrêt de la cour suprême coréenne.
        3.
        2014.06 KCI 등재 서비스 종료(열람 제한)
        Kann eine durch strafbare Handlung bereits zugeeignete Sache erneut zugeeignet werden? Im Schriftum wird nach dieser Frage überwiegend die Meinung vertreten, daß in einer wiederholten Betätigung des Herrschaftenswillen eine erneute Zueignung liegt, diese aber als mitbestrafte Nachtat gegenüber dem ersten Zueignungsakt zurücktritt. Straflose od. mitbestrafte Nachtat ist eine tatbestandsmäßige Handlung, die nicht bestraft wird, weil das Schwergewicht des Unrechts im Gesamtkomplex der Straftaten maßgeblich bei der bestraften Vortat liegt. Nach der alten Rechtsprechung des KorObGH sind die Voraussetzungen für die Straflosigkeit einer späteren (Zweit-)Zueignungsakt, daß der Täter in aller Regel auch die Nachtat begehen muß, wenn die erste (od. Haupt-)Tat für ihn einen Sinn haben soll. So ist, daß die Nachtat sich in der Auswertung od. Sicherung der durch die Vortat erlangten Position erschöpft, den schon angerichteten Schaden nicht wesentlich erweitert und kein neues Rechtsgut verletzt. Mit dem jüngeren Urteil 2010 Do 10500 des Großen Senates hat der Koreanichen Obersten Gerichtshof seine Meinung verändert. So geht er davon aus, daß in diesem Fall eine später wiederholte Zueignungsakt aber nicht als mitbestrafte Nachtat gegenüber dem ersten Zueignungsakt zurücktritt, sondern den selbständigen Zueignungstatbestand verwirklicht. Der maßgebliche Grund dafür ist, daß die Zweitzueignunstat sich in der Bewertung des durch die erste Vortat erlangten Unrechtsinhaltes nicht erschöpft, den schon angerichteten Schaden wesentlich erweitert und ein neues Rechtsgut verletzt. In diesem Aufsatz habe ich hingegen die andere Meinung herangezogen, die jeweils etwa an einer Normlogik des KorObGH orientiert wird. Seine Begründung miteinander hat aber m. E. keine Übereinstimmung in allen wesentlichen Punkten. Sie steht nicht Einklang mit seiner bisherigen Normlogik über das Wesen von Zueignungsakt, die Abgrenzung der Unterschalgung und Untreue, den Unterschied zwischen subjektivem Vorsatz und einer Zueignungswille (eine Zueignungsabsicht im Sinne von § 329 KorStGB (Diebstahl) ist hier nicht erforderlich).